Marcelo Wesfreid, journaliste à l'Express, y place Jean-Paul Nerrière et le globish en tête et en introduction d'un article couvrant en quatre pages le sujet de la communication internationale. Sous le titre "do you speak business", il présente une série de témoignages rendant compte de la difficulté de cette communication. Il évoque aussi la médiocrité du langage ainsi parlé, et que le globish entreprend de structurer pour le rendre plus efficace: "pas besoin d'être un spécialiste de l'anglais pour travailler ensemble, assure José Fernandez, auditeur qualité et délégué F.O. (chez Airbus Industries). Les techniciens baragouinent quelques mots, ébauchent des croquis sur une feuille et ils finissent toujours par se comprendre". Et les avions finissent par décoller.