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Le livre, "don't speak English, parlez GLOBISH", peut s'acquérir dans toutes les bonnes librairies, en particulier celle de votre quartier, ou de votre village. La quatrième page de couverture vous indiquera un prix de 18 €.
Même chose pour le traité d'apprentissage pratique "Oubliez les méthodes de langue, découvrez le Globish", dont le prix est spécifié à 12 €.
Vous pouvez également les commander par internet aux cyber-libraires suivantes, qui vous proposeront en général un "payement par carte de crédit sécurisé", destiné par ses créateurs à vous mettre à l'abri d'utilisations frauduleuses par la suite.
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Que des maisons sérieuses et réputées.
Bonne lecture d'ouvrages à offrir à quiconque a besoin de communiquer à l'étranger pour ses loisirs ou pour son activité professionnelle.
Le contenu du livre
Le contenu du livre "don't speak English, parlez globish", la table des matières :
Chapitre 1, Où sont exposées les origines du présent ouvrage : pourquoi il a été écrit, comment il peut et doit aider tous ceux qui ont besoin de communiquer internationalement, que ce soit à New York, à Londres, à Moscou ou à Ciudad Guatemala, que ce soit pour le tourisme, ou les affaires.
Chapitre 2, Où l’on découvre quelques anecdotes ans lesquelles une majorité de lecteurs se reconnaîtront sans peine. Tous ceux qui ont, ou ont eu, besoin de l’anglais pour leur activité ont vécu ces circonstances. Les anglo-saxons y pérorent sans toujours se faire comprendre, et les autres hésitent pitoyablement, alors que leurs convictions mériteraient d’être diffusées. Ce monde est mal fait… Il faut y apporter un remède !
Chapitre 3, Où l’on discute de l’utilité et du besoin d’un outil permettant de communiquer
mondialement. A quand en remonte la nécessité ? Quelles en ont été les tentatives les plus notables ? Quelles en ont été les réussites, et pourquoi n’ont-elles guère connu de succès universel ?
Chapitre 4, Où est présentée la situation à ce jour. Les témoignages n’abondent-ils pas pour démontrer que, face à toutes ces tentatives intelligentes, l’anglais aurait gagné ?…
Chapitre 5, Où est discuté le véritable positionnement actuel de l’anglais. Certes, tout le monde nous dit que la pratique de l’anglais ouvre les portes du monde. Mais la langue que nous pensons entendre partout, est-ce vraiment l’anglais ? Qui croit que les Américains n’ont aucune difficulté à comprendre les Irlandais ou les Australiens ? Que parlent entre eux un Chinois de Canton et un Chinois de Pékin ? Dans quelle langue communiquent un Brésilien et un Néerlandais ?
Chapitre 6, Où se trouve décrit le globish : une langue efficace, suffisante, parfaitement décrite, pour communiquer partout dans le monde, tant oralement que par écrit. Une langue qui ne fait que structurer et rationaliser un état de fait observé partout en dehors du monde anglosaxon.
Chapitre 7, Où est expliquée la manière de s’exprimer en globish. Le globish se suffit de 1 500 mots différents, mais ne saurait se résumer à ce vocabulaire exigu. De nombreuses manières de s’exprimer doivent être maîtrisées pour garantir une bonne transmission du message malgré la réduction délibérée du vocabulaire. Quiconque parle anglais aujourd’hui, plus ou moins bien, doit comprendre et assimiler ces techniques : le but est d’être compris, et sans elles, les chances sont limitées. Même ceux qui se croient bons feraient bien de s’en inspirer à partir de maintenant.
Chapitre 8, Où l’on expose la méthode la plus rapide pour apprendre assez aisément le globish. Nous n’avons pas encore de professeurs de globish dans les école ; à ce stade, le Ministère de l’Education Il continue donc à espérer rendre des enfants bilingues en anglais, en leur donnant au mieux l’occasion de parler cette langue pendant 14 heures (une minute dans chaque heure de cours distribué à trente élèves) tout au long de leur scolarité secondaire. Seuls y arriveront ceux que leurs parents gratifieront de multiples séjours linguistiques à Londres, New York ou Malte (pourquoi pas ?). Une méthode solitaire est exposée dans le livre, à rebrousse poil de toutes celles utilisées dans l’enseignement conventionnel. L’effort demandé est limité, et pour une bonne partie ludique. Bonne chance ! Un peu d’opiniâtreté suffit. Les outils et les maîtres péexistants peuvent y aider, et, pour certains, ne manqueront pas de s’y appliquer.
Chapitre 9, Où est démontrée la supériorité des globiphones sur les anglophones natifs. Nos complexes en face des interlocuteurs nés anglophones ne sont pas bien fondés : la démonstration s’en trouve dans ce chapitre. Il est plus facile, plus populaire, et plus efficace d’être un globiphone conscient de ses limitations, et les compensant par les méthodes exposées, qu’un anglophone endormi dans ses certitudes et dans son bon droit.
Chapitre 10, Où est pronostiqué le ténébreux futur du parler angloricain. Etrangement, et ce n’est pas le moindre des paradoxes, l’anglais est de moins en moins une langue de culture. Ce qui en est parlé à travers le monde mérite d’être vertébré sous la forme du globish : peut il alors subsister un résidu d’une qualité capable de rivaliser avec les autres grandes langues ? Ce qui en resterait serait-il alors encore important ? La généralisation de l’anglais, ou plutôt du globish, n’aura t’elle pas étouffé la langue mère, l’anglais ?.
Chapitre 11, Où l’on dispute des deux périls communément annoncés pour le français. Notre langue est elle alors réellement mise en danger par la diffusion planétaire d’un produit aussi déformé et amoindri ? Et, autre sujet, le « franglais », dont on nous raconte la menace depuis quarante ans, a t’il mutilé le français au point de le condamner ? Sujets iconoclastes tant sont vénérables et respectés ceux qui défendent depuis toujours les convictions opposées. Mais qui a dit que plus l’auteur est illustre, et plus il a raison ?
Chapitre 12, Où l’on ose esquisser une autre ambition pour la langue française. La langue française semble bien avoir perdu, de par le monde, l’essentiel du prestige et de la diffusion qui faisaient naguère notre fierté. A quand remonte l’époque où les passeports de l’Empire Ottoman étaient rédigés en turc et en français (à 1913 !). Cette décadence est-elle, comme on ne cesse de le dire, la cause de notre effacement culturel ? Ou, au contraire, la perte d’influence de la culture serait-elle la cause d’une éclipse dans la diffusion de la langue ?
Autotest : Mesurez votre niveau en globish. Un petit test rapide et divertissant qui pourrait bien vous montrer que votre connaissance des mots anglais est bien meilleure que ce que vous croyez : la plupart de ceux et celles qui ont expérimenté le test sont stupéfaits de découvrir la proportion des 1 500 mots de base qui leur sont déjà connus. Ceci indique en général que le problème est ailleurs : vous découvrirez où doit se porter votre effort.
Lexique Globish-français : les 1 500 mots et leurs traductions (multiples) en français. Le site offre des approches complémentaires à ce vocabulaire.
Les références des livres
Titre: "Don't speak English, PARLEZ GLOBISH"
Auteur: Jean-Paul Nerrière
Editeur: Editions Eyrolles, 1 rue Thénard, 75240 PARIS.
ISBN: 2-7081-3109-5
Titre: "Oubliez les méthodes de langue, DECOUVREZ LE GLOBISH"
Auteurs: Jean-Paul Nerrière, Philippe Dufresne, Jacques Bourgon.
Editeur: Editions Eyrolles, 1 rue Thénard, 75240 PARIS.
ISBN: 2-7081-3267-ç