Interpellé par l'article qu'il avait lu dans le Point sorti le 28 avril, Laurent Ruquier a consacré au globish un chapitre de son émission du même jour sur Europe N°1 "on va pas s'gêner".
Le caractère inédit de la théorie tenue dans l'ouvrage "don't speak english, parlez globish" lui était clairement apparu.
Un débat s'en est suivi entre lui et ses partenaires professionnels de la bonne humeur, qui n'avaient pas tous eu connaissance encore de l'article du Point.
Certains professaient que 400 mots devraient suffire à la communication. Ce serait en effet un début permettant la survie, et donc une certaine communication, mais pas celle visée dans l'ouvrage de Jean-Paul Nerrière: les affaires et le tourisme, partout, aussi bien en terre réputée anglophone qu'en Patagonie. Ces journalistes le verront démontré dans le livre que viennent de publier les éditions Eyrolles.